Bordeaux a-t-il eu du mal à défendre contre Marseille ?Nous n’avons eu du mal à défendre que pendant 20 minutes. Ce carton rouge nous a fait mal, nous n’avons pas pu faire rentrer nos joueurs frais donc cela a modifié la physionomie du match. Jusqu’à l’expulsion, nous n’avons pas concédé d’actions.
Peux-tu nous commenter ta chevauchée qui a mené au but girondin ?
Michaël Ciani : C’est de l’instinct. Comme face au Bayern avec mon but, il ne faut pas s’attendre à me voir faire cela à chaque match ! (Rires). J’avais à côté de moi Cheyrou et je sais que je vais plus vite que lui. Cela peut nous permettre de créer le surnombre si un défenseur central monte. J’ai eu la possibilité de percer à ce moment là, cela dépend du placement de l’adversaire et de la physionomie du match. L’erreur serait d’en faire trop.
Bordeaux se transcende pour les gros rendez-vous de la saison…
Inconsciemment, nous nous surpassons face aux grosses équipes. Même si je me dis que c’est un match comme un autre, nous sentons l’engouement autour de nous.
Peux-tu nous commenter ta chevauchée qui a mené au but girondin ?
Michaël Ciani : C’est de l’instinct. Comme face au Bayern avec mon but, il ne faut pas s’attendre à me voir faire cela à chaque match ! (Rires). J’avais à côté de moi Cheyrou et je sais que je vais plus vite que lui. Cela peut nous permettre de créer le surnombre si un défenseur central monte. J’ai eu la possibilité de percer à ce moment là, cela dépend du placement de l’adversaire et de la physionomie du match. L’erreur serait d’en faire trop.
Bordeaux se transcende pour les gros rendez-vous de la saison…
Inconsciemment, nous nous surpassons face aux grosses équipes. Même si je me dis que c’est un match comme un autre, nous sentons l’engouement autour de nous.
girondins.com : Comment préparer le match de Grenoble ?
Affronter Marseille ou Lyon, c'est comme jouer des matches de Ligue des Champions. Inconsciemment, dans ces gros matches, on se surpasse. Il faudrait, face à Grenoble, évoluer avec le même investissement mental et physique. Les trois points sont aussi importants que face à Marseille ou un autre club. C’est l’adversaire qui change. Je risque de jouer à gauche, cela ne me dérange pas. Je jouais à gauche à Lorient. Selon moi, c’est le même poste.
Dans quel domaine as-tu progressé à Bordeaux ?
J’ai progressé dans la sérénité et la concentration à Bordeaux. Il faut être tout le temps attentif, cela permet d’anticiper les coups et d’être en mouvement. Il faut savoir où les adversaires sont placés et avoir des yeux partout.
Affronter Marseille ou Lyon, c'est comme jouer des matches de Ligue des Champions. Inconsciemment, dans ces gros matches, on se surpasse. Il faudrait, face à Grenoble, évoluer avec le même investissement mental et physique. Les trois points sont aussi importants que face à Marseille ou un autre club. C’est l’adversaire qui change. Je risque de jouer à gauche, cela ne me dérange pas. Je jouais à gauche à Lorient. Selon moi, c’est le même poste.
Dans quel domaine as-tu progressé à Bordeaux ?
J’ai progressé dans la sérénité et la concentration à Bordeaux. Il faut être tout le temps attentif, cela permet d’anticiper les coups et d’être en mouvement. Il faut savoir où les adversaires sont placés et avoir des yeux partout.
Lamine Sané monte en puissance depuis le début de l’année…
Michaël Ciani : J’aime bien la concurrence et je n’aime pas les acquis. Il faut toujours être performant sur le terrain et ne jamais se laisser aller.
Qui parle en défense ?
Alou est devant nous et il nous parle. Il n’est jamais content donc nous en prenons plein le visage. (Rires) Des joueurs comme Matthieu Chalmé ou Marc Planus parlent aussi beaucoup car ils ont de l’expérience.
Que penses-tu d’Ulrich Ramé ?
C’est un super gardien. Il était déjà rentré face à la Juve. Il s’est imposé dans les airs, il a sauvé quelques balles d’entrée de jeu. C’est quelqu’un qui parle beaucoup sur le terrain. Nous sommes sereins en sachant qu’il est dans les buts. Quand j’étais à Lorient, je voyais un grand gardien. C’en est un.
Michaël Ciani : J’aime bien la concurrence et je n’aime pas les acquis. Il faut toujours être performant sur le terrain et ne jamais se laisser aller.
Qui parle en défense ?
Alou est devant nous et il nous parle. Il n’est jamais content donc nous en prenons plein le visage. (Rires) Des joueurs comme Matthieu Chalmé ou Marc Planus parlent aussi beaucoup car ils ont de l’expérience.
Que penses-tu d’Ulrich Ramé ?
C’est un super gardien. Il était déjà rentré face à la Juve. Il s’est imposé dans les airs, il a sauvé quelques balles d’entrée de jeu. C’est quelqu’un qui parle beaucoup sur le terrain. Nous sommes sereins en sachant qu’il est dans les buts. Quand j’étais à Lorient, je voyais un grand gardien. C’en est un.
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